Le questionnaire de mi-parcours pour le Big-RAT

Publié le par Chrestomanci

1. Combien de livres lus pour le moment ? Soit combien de pages ?

2. Le plus dur va commencer, réussir à tenir toute la nuit, qu'avez-vous prévu pour lutter contre le sommeil ?

3. Pour le moment est-ce que vous ne regrettez pas d'avoir opté pour le Big Challenge plutôt que pour celui de 12h ?

4. Comment vous sentez-vous?
5. Pensez-vous tenir jusqu'à la fin?

Publié dans Questionnaire

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N
<br /> Bousoir,<br /> <br /> Je n'ai lu qu'un seul livre à cette heure tardive:<br /> <br /> "L'homme qui m'aimait tout bas " d'Eric Fottorino".<br /> <br /> Ce livre est comme l'écrit le narrateur comme "un roman des origines".<br /> <br /> Ce livre m'a beaucoup plus ¨même si le titre est très poètique, la réalité du narrateur en tout autre.<br /> Le narrateur écrit comment son père en est venu à se tirer une balle dans la gorge. Il cherche à comprendre ce qui l'a conduit à ce geste fatal et, paradoxalement et parallèlement, le narrateur<br /> opère un retour sur le temps, depuis que son père "l'a adopté et su l'apprivoiser... l'aimer".<br /> Il écrit : "Ce père tout neuf était ma terre ferme". Le racisme, son divorce..., son départ à la retraite obligatoire, "sa perte de statut " et donc perçu par son père "comme la perte de sa raison<br /> d'être", douloureuse. Son métier de kinésithérapeute était toute sa vie car "il aimait que l' ait besoin de lui". Outre cela " sa déclaration en faillite personnelle " et l'humilation qui s'en<br /> suivi : "ancrée sur le papier" c'est à dire les journeaux, son refus de vieillir peut-être...Bref...malgré tout, le narrateur confesse son bonheur d'avoir été aimé par un tel père: "Tu m'aimais<br /> tout bas, sans effusion, comme on murmure pour ne pas troubler l'ordre des choses. Tu m'aimais tout bas, sans le dire, sans éprouver le besoin d'élever la voix...C'était si fort- la force de<br /> l'évidence - que tu ne l'aurais pas crié sur les toits...Il écrit de façon très fines de belles chose en hommage de son père qui lui manque.<br /> <br /> Reste pour le narrateur que finalement, il avoue tacitement être passé auprès de sa détresse. En effet, il avoue qu'ils auraient du se "parler",qu' "ils restaient à la surface là ça ne risquait<br /> rien"..."On commentait le temps qu'il faisait pas celui qui nous éloignait".<br /> <br /> Je reste sur ce constat qui me chavire le coeur: Avec mes parents nous faisons de même!<br /> Eric Fottorino écrit dans un style "classique? " Je ne sais pas.<br /> ps :Warning: ne faites pas comme moi!<br /> a+<br /> Nounours.<br /> <br /> <br />
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